Aujourd’hui j’inaugure une nouvelle série d’articles. Ils sont pour la plupart tapés depuis longtemps dans mon ordinateur mais plus je prenais du retard à les publier et plus la tâche me semblait impossible.
Or, je tiens absolument, par respect pour le travail des organisateurs de salons et les visiteurs qui m’ont honorée de leur confiance à partager un compte-rendu pour chacun des évènements auquel j’ai la chance d’assister.
Alors voici le premier article sur les 7 de la série : « Comptes-rendus des salons 2023 », avant que je m’autorise à publier les comptes-rendus des évènements de 2024. 😎
- Salon du livre de Privas – 24 et 25 juin
- La Fête du Chapelier – 2 et 3 septembre
- Mangalaxy – 16 et 17 septembre
- Octogônes – 29, 30 septembre et 1er octobre
- Génération 100 % Romance – 21 et 22 octobre
- Châteauneuf sur Isère – 5 novembre
- Salon du livre jeunesse – 18-19 novembre
Points forts et inconvénients du salon de Privas
Les points forts du salon, c’est que j’y suis « chez moi » : Il s’agit de l’un des salons du livre les plus proches, qui ne nécessite pas d’hébergement, avec un stand au coût minime. Et j’y suis entourée d’auteurs que je connais bien et que je retrouve avec plaisir. 🥰
L’inconvénient majeur du salon ? Le manque de visiteurs ! 😔
Nous avons littéralement passé 2 jours à attendre que ceux-ci poussent la porte et j’avoue qu’il y a eu des moments où le temps m’a paru long ! Je ne sais pas trop ce qui peut être amélioré par rapport à ça : la signalisation, sûrement, la communication peut-être. Mais je reconnais aux organisateurs d’avoir de leur côté mis beaucoup de choses en place, dont l’organisation d’un super prix littéraire (dont je vous reparle plus bas).
Alors, qu’est-ce qu’on fait dans un salon du livre où il ne se passe pas grand-chose ?
On papote, on mange et on écoute de super chansons !
J’ai distribué des marque-pages des Optimales, j’ai eu des idées de guests à inviter, on m’a promis de transmettre mon invitation aux Optimales à Bernard Werber… J’ai fait des photos avec les copains, grignoté au vin d’honneur et beaucoup apprécié les chansons de Duo2bulles !
On fait des dépenses ! (et pas celles que vous croyez…)
Souvent, dans un salon du livre, j’achète, ben, des livres. 😅😁😇 Mais là, ma PAL est tellement haute que je n’achète plus que des séries commencées.
Donc, non, je n’ai pas acheté de livres à Privas.
J’ai acheté un TABLEAU. 🤩
Un tableau pour lequel j’ai eu un vrai coup de cœur.
Pour la couleur, pour le style…
Bref, je l’ai pris en photo le samedi.
Et je l’ai acheté le dimanche ! 😉
Le voici, il vous plaît ?
Et me voici à côté du peintre, Jacques Ducrocq… aux lunettes assorties à sa toile ! 😉
On encourage les néo-auteurs !
L’association organisatrice, le Cercle de la Plume ardéchoise, avait organisé un concours d’écriture et offert aux lauréats l’impression de quelques exemplaires de leur texte (j’ai trouvé l’idée super 🤩👍), aussi ces jeunes auteurs en herbe nous ont-ils rejoints pour dédicacer leurs livres tout au long du week-end.
On dédicace !
Car, oui, j’ai tout de même un peu dédicacé. 😅
À Françoise, tout d’abord, qui fut une très belle rencontre (il n’y a pas de hasard 😉) mais qui n’a pas souhaité être photographiée. Elle a choisi Et si vous réenchantiez votre vie ? et Autoédition : à vous de jouer ! Version 2.0 pour elle et le tome 1 d’Une autre vie à Citara, pour l’offrir. 💗
Ensuite j’ai dédicacé presque le même « combo » à nouveau : un Et si vous réenchantiez votre vie ? et un Autoédition : à vous de jouer ! Version 2.0 à la très sympathique Sonia, blogueuse et chroniqueuse. Elle a d’ailleurs très rapidement chroniqué Et si vous réenchantiez votre vie ? sauf que je ne sais plus où trouver sa chronique ! 😅
J’ai aussi dédicacé un Et si vous réenchantiez votre vie ? à Annick, avec qui j’ai eu une belle discussion.
Le lendemain, j’ai fait ma première dédicace à 14h. Il s’agissait d’un exemplaire d’Autoédition : à vous de jouer ! Version 2.0 et la dédicace a été faite à Jean-Marc, de la part de Colombe, sa fille si je me souviens bien. Colombe était la maman de l’un des lauréats du prix mentionné plus tôt, Axel et j’ai longuement discuté avec elle.
Enfin, j’ai terminé par deux dédicaces de Kassandra et la Grèce des légendes : l’une à Damien, un professeur d’histoire-géographie qui souhaitait retourner en Grèce avec mon histoire, mais qui était aussi très intéressé par Citara, et l’autre à Jacques, l’artiste qui m’avait vendu son tableau.
Le palmarès du salon
Au moment de faire les comptes c’est assez amusant de constater que j’ai principalement vendu des livres de non-fiction : 3 exemplaires de mon livre de développement personnel, Et si vous réenchantiez votre vie ? et 3 exemplaires de mon guide pratique, Autoédition : à vous de jouer ! Version 2.0,
Au final un très petit salon pour moi, mais qui reste bénéficiaire comme je n’ai pas de frais logistiques.
Alors je postulerai sûrement à nouveau !
[Edit en janvier 2024 : je viens d’apprendre que la date du salon avait changé, passant de juin à mars et malheureusement, il aura lieu à une date où j’ai déjà un autre salon de prévu. Dommage. 😔]
Les petits salons ont des avantages pour le côté intimiste par exemple mais effectivement, difficile de rentabiliser si l’on a des frais pour s’y trouver.
J’aime les petits salons parce que j’y trouve moins de tentation et en général, les auteurs et autrices sont plus disponibles pour échanger.
Mais je comprends que ça puisse être compliqué d’avoir peu de visiteurs.
Effectivement, dans les salons « intimistes », on a plus le temps de discuter. Mais pour les auteurs, le fait de ne pas beaucoup dédicacer (alors qu’il y a des frais conséquents liés à leur venue sur place), c’est souvent déprimant.
Enfin, pour moi, ce n’est pas le nombre de dédicaces qui comptent, mais d’avoir pu échanger avec de nombreux visiteurs. Or, là, les visiteurs étaient trop rares, malheureusement. 🙁
Tellement dommage.
Quand je suis allée au salon de Saint-Papoul, j’ai trouvé que c’était pas bien indiqué et surtout je n’ai pas vu de grande affiche pour que des gens de passage fassent halte. Il fallait vraiment savoir qu’il y avait un salon du livre pour s’y rendre. Ça m’a rappelé quand tu étais sur celui de Montredon-Labessionière si je ne me trompe pas de nom. Visibilité pas optimale pour attirer du monde.
J’aimerais tellement que tous les auteurs s’y retrouvent pour être au minimum rentable.
Oui, la communication et le fléchage, c’est VITAL. Et effectivement, à Montredo, il n’y avait rien eu en ce sens, on était introuvables, j’ai su dès l’arrivée que c’était mort… 🙁