Vous ne connaissez peut-être pas encore Citara mais vous avez déjà compris qu’il s’agissait d’une terre nouvelle, d’un microcosme.

On en arrive en effet à quelque chose qui me plait particulièrement dans les romans que je lis : la création d’un monde à part entière.

Je pense à Hogwarts, à Volterra, à Endor, à Alagaësia, à Braavos, à Aydindril, etc… etc…, la liste est longue. [Si vous ne connaissez aucun de ces noms, ce n’est pas grave, c’est l’occasion de découvrir le monde de la fantasy…]

 

J’aime l’imagination des auteurs, surtout lorsque l’univers ainsi créé « se tient » dans ses moindres détails. En même temps, ce qui peut vous sembler une évidence lors de la lecture recèle en fait des montagnes de questions auxquelles l’auteur a dû répondre. Souvent, j’écris dans la marge de mes cahiers : « comment ? », « Pourquoi ? », ou « non, car pas compatible avec x ou y éléments de l’histoire »…

Et c’est ainsi que, petit à petit, Citara est née. Née de mes envies et des capacités de mes personnages, s’adaptant aux contraintes de l’histoire et déroulant ainsi, au fur et à mesure, sa propre logistique.

 

(suite et fin ici)

Article importé de mon ancien blog