Dans mon article sur mes attentes pour le Salon Fantastique, j’avais fait une liste de 6 points.
Cette liste étant longue et le Salon s’étant déroulé sur 3 jours, je vais scinder mon compte-rendu en deux articles afin de ne pas vous noyer sous le flot de mots et d’images correspondants.
Dans l’article d’aujourd’hui :
1. Vendre des livres
2. Retrouver de vieilles connaissances
3. Passer du virtuel au réel.
Dans le prochain :
4. Participer à l’animation du Salon
5. Promouvoir Citara
6. Me faire surprendre.
1. Vendre des livres
Commençons tout de suite par la déception du week-end. Car si j’ai vendu des livres, mon « score » fut bien inférieur à celui d’autres Salons.
J’ai en effet dédicacé 22 titres « payants », sur les trois jours du Salon. Pourquoi « payants » ? C’est parce que j’ai aussi dédicacé, et avec grand plaisir, des livres achetés en amont sur le net par mes lecteurs, et les ouvrages que j’offrais au titre de divers concours, ce qui monte le nombre de dédicaces total à 30.
Pas mal, mais hélas, pas assez pour compenser les frais, conséquents, du Salon. Je sais bien que les salles parisiennes sont plus chères qu’en province, que les bénévoles font un travail de dingue sans être rémunérés, mais il n’empêche que du point de vue des exposants, investir autant pour un résultat aussi moyen, c’est juste too much. En tout cas, en ce qui me concerne, je place désormais ce Salon dans la liste « pertes trop conséquentes – à ne pas reconduire » et c’est très dommage, car pour sur tous les autres points j’ai été ravie de mon déplacement. Il n’empêche qu’à un moment, il faut aussi regarder les chiffres en face : lorsqu’on additionne le coût du stand (qui reste trop cher, malgré une remise conséquente accordée aux premiers inscrits) + les lots offerts + le déplacement (1 200 km aller-retour) + l’hébergement + le parking* et que l’on soustrait les bénéfices réalisés, pour un auteur autoédité, le montant final ne doit pas être dans le rouge. Or là, il est d’un rouge bien vif…
En outre, l’organisation a malheureusement parfois laissé à désirer. Car à ce prix-là, on espère toujours qu’on aura une belle visibilité. Très honnêtement, je ne suis pas à plaindre par rapport à d’autres : j’étais en plein centre du Salon, non exposée au froid et sans tourner le dos à la salle, contrairement à des auteurs de ma connaissance. Je pense notamment à Laëtitia Reynders, une autrice que j’apprécie énormément, qui était placée dans un endroit hallucinant, surtout lorsqu’on connaît sa renommée auprès des lecteurs : certains d’entre eux sont repartis sans la trouver, c’est dire, et elle est revenue de Paris avec un rhume carabiné. D’autres copains auteurs ont également pâti d’un très mauvais placement : je pense notamment à Anna Combelles, Patricia Le Sausse ou Johanna Zaïre. Heureusement pour cette dernière, mon voisin de droite, James Tollum n’est pas revenu le lundi et lui a laissé sa place.
Malgré un public au rendez-vous (et bravo à l’équipe pour avoir réussi sur ce point, grâce à toutes les animations mises en place), il reste une marge de progression conséquente pour les organisateurs qui, ont, ainsi que j’ai pu m’en apercevoir lors de mes échanges par mail et sur les réseaux sociaux, à cœur de bien faire. J’espère donc qu’ils prendront ces remarques comme des pistes de travail pour les prochaines éditions. Je pense qu’il faudrait notamment :
- améliorer la visibilité des exposants dans la salle : les visiteurs n’avaient pas de plan pour trouver leurs auteurs ou artisans préférés et les allées n’étaient pas numérotées ou identifiées, ce qui aurait permis une plus grande facilité pour se retrouver dans le labyrinthe du Salon ;
- inclure les tables et les chaises dans le prix du stand : c’est le premier Salon que je fais où l’on n’a pas a minima une table et une chaise incluses !
- investir absolument dans la sonorisation : les annonces étaient inaudibles, tandis que la musique des différents orchestres / chorales + le brouhaha dans la salle gênaient terriblement la communication entre les visiteurs et les exposants ;
- changer le lieu de la manifestation : difficile à trouver pour les non-initiés et dans un quartier pas franchement sympathique ;
- revoir les horaires de fin de Salon / rangement des stands. 17h était ce qui était annoncé sur ma feuille, or 17h, c’était la fin du Salon (et dans les faits, cela s’est terminé à 17h30). Ce qui m’a occasionné un départ beaucoup plus tardif que prévu, alors que j’avais 600 km à faire derrière : je ne vous dis pas dans quel état de fatigue j’ai terminé mon trajet…
- prévoir des paravents ou un système de sas aux entrées, afin que ceux qui se trouvent face à celles-ci ne pâtissent pas du froid et des courants d’air ;
- éventuellement, regrouper les auteurs dans le même périmètre (même si, personnellement, j’aime bien la diversité, certains visiteurs ont regretté l’éclatement des stands auteurs sur tout le Salon).
* Petite mention spéciale concernant le parking et conseil aux auteurs qui souhaiteraient tenter l’expérience l’année prochaine : un parking, lorsqu’on a la voiture pleine de cartons de livres et de matériel d’exposition, c’est indispensable. Sachant que je serai chargée comme un mulet, j’ai dû me résoudre à payer le prix astronomique de 70 € pour le parking proposé par le Paris Event Center. Grosse, grosse, grosse erreur. Car non seulement j’étais garée extrêmement loin du lieu de déchargement, dans un parking non couvert, mais en plus mon hôtel (le B&B Porte de la Villette, à quelques centaines de mètres) proposait un parking couvert à… 8 € la journée. J’espère que cette info pourra vous faire économiser près de 50 € lors des prochaines éditions si le lieu actuel est maintenu. 😉
Bon, après avoir discuté des conditions bassement matérielles, abordons l’aspect éminemment plus agréable des dédicaces. De ce côté-là, tout va bien car j’ai eu la chance de rencontrer plein de nouveaux lecteurs sympathiques au Salon Fantastique. ♥
Un IMMENSE merci à eux pour avoir illuminé ces journées de leurs sourires, de leur intérêt, de leur enthousiasme.
Mention spéciale à deux lectrices qui m’ont particulièrement émue :
Marion, car elle a été la toute première à précommander Citara (je vous en parle dans la 2ème partie de mon compte-rendu), en plus d’avoir craqué pour « Éclosia ».
Mauricia, non seulement parce que j’ai eu un vrai « coup de cœur » pour sa personnalité, mais aussi parce qu’après avoir fait un tour du Salon (et Dieu sait qu’il s’y trouvait de super tentations pour le portefeuille), elle est revenue me voir… et a fait « carton plein » : elle a pris tous mes livres de fiction d’un coup, y compris Citara, ce qui ne m’était encore jamais arrivé. À nouveau, merci pour votre confiance, Mauricia. J’espère que nous allons rester en contact. ♥
Mais tous les lecteurs du Salon furent formidables, la preuve dans les images ci-dessous.
2. Retrouvailles
Aurelle
« Monter à Paris », c’était l’occasion pour moi de revoir des amis que mon déménagement dans le sud m’a fait perdre de vue au fil du temps.
Les premières retrouvailles ont concerné Aurelle, une amie du temps où j’habitais non loin de Chantilly. Nos deux filles, qui ont le même âge et étaient d’inséparables copines il y a 8 ans, étaient également ravies de se revoir, et nous avons vraiment passé un très agréable moment toutes les 4, une fois mon stand installé, à partager un repas dans un snack non loin du Salon. Malgré tout, ce fut trop bref, il me semble que j’ai oublié de discuter de plein de choses ! Il faudra absolument qu’on organise une autre rencontre !
Odile
Paris, c’est aussi le souvenir, pour moi, de cette année de dingue à passer l’agrégation (pour la 4ème fois d’affilée), en trimbalant avec moi mon petit dernier d’un an : train + bus + crèche + cours en amphi + repas avec lui + Vélib jusqu’à Jussieu pour les cours de l’après-midi + retour en bus et train, cela deux fois par semaine… Et c’est l’année où j’ai enfin réussi à l’avoir, ce fichu concours ! Je pense que j’ai encore plus savouré l’exploit du fait de toutes ces difficultés…
Parmi les personnes qui préparaient également l’agrégation, je me suis fait une super copine, Odile. J’adorais son esprit caustique, son humour, sa force de travail, son dynamisme. Nous sommes restées en contact via les réseaux sociaux et voilà, le Salon fut l’occasion de se retrouver, 10 ans plus tard. ♥
La famille
Pendant ce Salon, j’ai pu également revoir une partie de ma famille parisienne : mon cousin et toute sa petite tribu. C’était la première fois qu’ils participaient à ce genre de manifestations et ils en ont été enchantés. C’est grâce à eux que j’ai réalisé que pour les visiteurs, la déambulation n’était pas toujours aisée, mais en même temps que la variété des stands et des animations était un vrai succès.
Les Grenouilles
Vous le savez, je suis modératrice sur un forum d’auteurs de l’imaginaire, CoCyclics. Lors de ce Salon, j’avais espéré que nous atteindrions le chiffre de 50 grenouilles présentes, mais au final nous n’aurons été « que » 23 : par ordre alphabétique, ça donne Agathe Flore, Amaryan, Amonis, Aramis, Arya, Atar, Axolotl-a-besicles, Crazy, Dea, Elfine noire, Isa S, La_louve, LaPlume, Luxia, Mouton, nanet, Nemy, olgir, Patastec, takisys, tomate, Yannick AR Fradin et moi, Citarienne. Je me demande si je n’en oublie pas, dans ce décompte ; si c’est le cas, merci de me le signaler. 😉
Et j’ai même recruté pendant le Salon puisqu’une nouvelle grenouille est ensuite venue grossir les rangs : Arceoroise. 😉
En tout cas, c’est toujours un plaisir de se retrouver entre grenouilles, merci à tous d’être passés me faire coucou sur mon stand !
Merci notamment à Mouton, Arya, Crazy, Axo, YannickFR et La Plume d’avoir participé avec entrain à mes animations.
Je regrette de ne pas avoir pu discuter plus longuement avec certains, par exemple ma chère copine takisys, ou encore tomate que je n’ai pas vue du tout et dont j’apprécie beaucoup le style.
Mention spéciale à Axo qui a gagné l’un des exemplaires mis en jeu d’Éclosia… et l’a littéralement dévoré sur place, en à peine 45 mn. Je n’ai pas pu résister à la prendre en photo alors qu’elle en était à la moitié puis à la fin du livre. ♥
Acharat
Ahhhh, Acharat… Mon plus grand fan, et ce depuis que j’ai ouvert mon tout premier blog, sur mon quotidien de prof, il y a très, très longtemps de cela. Nous ne nous sommes rencontrés pour la première fois que l’année dernière, lors des 10 ans de CoCyclics, où il m’a accompagnée dans un périple sans fin à la recherche du lieu de rassemblement…
Cette fois encore, j’avais peu de temps à lui accorder, mais nous avons réussi à partager un repas ensemble au Salon et ce fut l’occasion d’une pause bienvenue au milieu de toute cette agitation. Merci encore, Acharat, pour ces moments de détente et de tendresse, qui m’ont fait du bien. La prochaine fois qu’on se reverra, j’essaierai de te consacrer davantage de temps. ♥
3. Du virtuel à l’IRL
Je suis reconnaissante des belles rencontres offertes par Internet. Je trouve que c’est le lieu idéal pour nouer des liens autour de valeurs et d’intérêts communs. Parfois, ces amitiés virtuelles aboutissent à des rencontres IRL (dans la vraie vie) et si j’angoisse toujours un peu avant de voir « en vrai » ces personnes (comment va-t-elle me trouver ? Est-elle aussi sympathique qu’elle en a l’air sur les réseaux sociaux ?), je n’ai jusque là jamais été déçue. Notre rencontre IRL a toujours été l’occasion de confirmer ce que je pressentais en ligne : des atomes crochus, une vraie complicité.
Ce Salon n’a pas dérogé à la règle : il fut l’occasion de très beaux moments d’échange. ♥
Yannick AR Fradin
Cela fait longtemps que nous communiquons sur les réseaux sociaux, par mail et sur nos blogs respectifs. Je ne me souviens plus du point de départ, qui a commencé à suivre l’autre, mais en tout cas, j’ai l’impression de le connaître depuis toujours. Et de fait, lorsqu’il est venu se présenter, spontanément, une franche camaraderie s’est installée entre nous. Yannick a passé beaucoup de temps sur mon stand, mais sans accaparer mon attention, avec un sourire et un enthousiasme contagieux et sa conversation m’a beaucoup intéressée. Là encore, je regrette de ne pas avoir eu plus de temps à lui consacrer, au calme.
Il a, lui aussi, fait un très chouette compte-rendu sur le Salon (en deux parties également), que je vous conseille de lire.
C’était sa première fois au Salon en tant que visiteur, il s’est régalé à tout parcourir… et à faire grossir sa PAL ! 😉 Il me tarde qu’il nous rejoigne à son tour « de l’autre côté du stand », ce qui ne saurait tarder, d’après ce que je sais… 😉
Les infos sur sa série de fantasy, « Le cycle de McGowen », sont ici
Esther Brassac
Ahhh, enfin ! Nous avions tellement d’amis communs que j’étais persuadée avoir déjà rencontrée Esther en Salon ! C’est désormais le cas, nous avons pu échanger quelques mots, et ce fut un moment très agréable. J’en ai profité pour lui demander une dédicace de son « La nuit des cœurs froids » que je suis en train de lire. 😉
Patrick Ferrer
Patrick est un peu le « papa » des indés ; en tout cas, c’est ainsi que je le considère. Lorsque j’ai fait mes premiers pas dans le monde de l’autoédition, j’ai reçu de précieux conseils de sa part, notamment sur les réseaux sociaux et nous échangeons régulièrement sur Facebook.
Le Salon Fantastique a été l’occasion de se rencontrer pour la première fois et ce fut un moment très sympathique, là encore. 🙂
Michèle Laurence
Michèle me suit depuis l’époque où j’avais ce fameux blog de prof. Elle me connaissait alors sous le nom de Profette. 🙂 Nous avons tout de suite sympathisé, j’ai apprécié son engagement, son dynamisme, son humour et son style littéraire (j’avais beaucoup aimé lire sa pièce de théâtre, l’Enveloppe, notamment). Nous étions une fine équipe de copains Internautes : avec BBKmel, Naturella, Acharat et L.Myster nous échangions presque au quotidien sur nos blogs respectifs et je n’ai jamais oublié cette époque, faite de camaraderie, de coups de gueule, de textes émouvants… ♥
J’ai continué à suivre Michèle lorsqu’elle a ouvert son nouveau blog, Acte II, et elle a fait de même avec moi. Parmi ses nouvelles aventures, je suis une grande fan de son Projet Mandrin, que je soutiens depuis le début. C’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai découvert le génial compositeur Guy-Roger Duvert, qui m’a autorisée à utiliser sa musique pour la vidéo d' »Éclosia« .
J’ai aussi parrainé l’un des personnages de l’histoire de Mandrin, « Court-toujours ». ♥
Enfin, bref, Michèle était aussi adorable « en vrai » que sur le net et même si le moment fut forcément trop court, il m’a fait énormément plaisir. ♥
Des membres de l’Indé Panda
Vous le savez, je suis fan de cette initiative qui publie gratuitement régulièrement un magazine composé d’une dizaine de nouvelles d’auteurs indépendants.
Eh bien, dans ce Salon, nous étions 5 auteurs soit présents au sommaire du magazine, soit membres du comité de lecture. Pas de chance, l’un de mes grands regrets a été de louper « Ghaan Ima », à qui j’ai juste pu dire bonjour et pas discuter du tout, alors que j’avais beaucoup apprécié son livre « Mira, la bataille de l’eau »… 🙁
Heureusement, j’ai pu prendre les autres en photo, et nous voici donc, devant le stand de Jeanne, dont je vous reparle juste après… 😉
Jeanne Sélène
Je voulais terminer par ce qui a peut-être été ma plus belle rencontre du Salon. ♥
Jeanne entre dans tellement de catégories que j’aurais pu parler d’elle à de multiples reprises dans cet article : j’échange souvent avec elle sur les réseaux sociaux, nos blogs (voici l’adresse du sien) et via l’Indé Panda, et il me tardait de la rencontrer en vrai. Je n’ai pas été déçue.
Elle était ma voisine pendant les trois jours de ce Salon et ce fut un réel plaisir. Ah, on est bien loin, là, des auteurs pénibles évoqués dans mon « top ten des moments cauchemardesques en Salon » ! J’étais d’ailleurs gâtée à ce Salon car j’avais un autre adorable voisin, James Tollum, un auteur qui était déjà à mes côtés lors du Salon Grésimaginaire et que j’ai retrouvé avec plaisir. Merci encore pour le « passage » que tu nous a permis d’utiliser entre nos deux tables, et contente d’avoir pu te dépanner avec mon Sum Up ! 😉
Mais revenons-en à Jeanne, que je rencontrais pour la première fois.
Non seulement, c’est une personnalité chaleureuse et dynamique, comme je les aime, mais elle a fait preuve d’une patience d’ange avec mes animations qui débordaient régulièrement sur son stand, allant même jusqu’à jouer mon assistante et photographe à plusieurs reprises.
Merci énormément, Jeanne, de ta présence à mes côtés pendant ce Salon et j’espère que nous partagerons à nouveau un espace lors d’un futur événement. ♥
Je vous reparlerai de mon adorable voisine avec la suite de mon compte-rendu sur le Salon… 😉
J’espère que cet article n’a pas été trop long à lire et vous a intéressés. En tout cas, c’était plaisant, pour ma part, de revenir sur ces beaux moments au Salon Fantastique de Paris. ♥
Bonjour Nathalie. Sympa ce compte-rendu 🙂 C’est toujours intéressant de lire des retours d’auteurs exposants, et les tiens sont à la fois vivants et agréables. Dommage que tu ne sois pas rentrée dans tes frais. C’était une expérience à faire en tout cas. Ravi de t’avoir rencontrée en chair et en os et au plaisir de me tenir derrière un stand voisin du tien, un jour^^
Merci Yannick, j’ai beaucoup apprécié le tien aussi, tu le sais. 🙂 Et j’espère bien que tu seras un jour entre Jeanne et moi ! On te chouchoutera, tu verras ! 😉 ♥
22 ventes, j’aurais sauté de joie ! Maintenant, je comprends ta déception par rapport aux frais engagés. C’est pour ça que pour le moment, je vais dans des salons peu couteux, surtout que honnêtement, je fais un bide à chaque fois.
Tout à fait, dans certains « petits » Salons, je fais de vrais bénéfices, ouf ! Ne t’inquiète pas, il m’est aussi arrivé de faire très peu de ventes : je pense au Salon de Rives l’année dernière (0 ventes, je crois bien) ou les Intergalactiques de Lyon.
Parfois c’est le sujet, parfois c’est la couverture qui n’attirent pas. Il faut être patient, en tout cas : tu as des commentateurs fidèles sur ton blog, c’est déjà super. 🙂
Kikou,
Je suis rentrée avec une belle laryngite, des marques-pages volés, mais… Comme nous avions partagé la table, j’ai limité les frais et remboursé le salon (31 ventes directes et qqs livres pre-vendus). Néanmoins, peu de visibilité et des rendez-vous manqués.
Tu peux m’ajouter à ta liste Coyclics même si je n’ai pas repéré de membres autres que Tasikis et toi. après, ils ne me savaient pas forcément présente et n’ont peut-être pas fait le lien entre pseudo et nom réel.
Bisous et merci pour ce premier bilan.
Ah ben mince alors pour les marques-pages !! 😮 Bravo pour tes ventes, dis donc ! 🙂
Ralala, je savais bien que j’oubliais quelqu’un de CoCyclics, vais te rajouter tout de suite ! 🙂
Hey !!
Moi aussi j’ai été plus que ravi de partager cet instant avec toi. J’adore les souvenirs que j’en ai.
Le salon aurait pu être largement mieux si cela avait été dans un autre endroit plus insonorisé. J’ai beaucoup aimé naviguer dans les allées et être émerveillé à chaque instant par ce que je voyais !!
PS : J’ai adoré ta voisine !!! Mais chut… Tu es et sera toujours mon autrice préférée dans le fantastique. 😀
Bien contente que tu aies apprécié Jeanne aussi. En même temps, c’est bien normal, vu sa personnalité !! ♥ Et je suis soulagée que tu gardes un bon souvenir de ton passage au Salon. ♥
Waou je suis heureuse de me trouver dans ce super compte rendu et d’enfin connaitre le nom du monsieur qui y était en même temps que moi Yannick Fradin je vais pouvoir m’enquérir de son avenir littéraire 🙂 ma pal ne dégrossi pas mais je me garde eclosia pour un weekend au calme car je préssens que je ne le lacherai pas avant de l’avoir fini 🙂
Coucou Marion !! C’est très gentil de venir sur mon blog, hâte d’avoir ton retour sur « Éclo » !!! 🙂 Et Yannick est formidable, n’hésite pas à aller faire un tour sur son blog aussi : http://yannickarfradin.blogspot.fr/
J’ai lu !!! ENFIN !!!!
Un super compte-rendu, comme d’hab’ qui me rend nostalgique des salons de Poitiers qu’on a fait avec Sophie et Danielle (ton NMA et la brioche au caramel) et les salons en général.
J’ai hâte d’en refaire et de t’y « croiser » ! 😉
Même si Poitiers n’était financièrement pas rentable, j’en garde un excellent souvenir. ♥
Comme je le disais à quelqu’un sur Facebook, tu adorerais les Imaginales. S’il y a bien UN Salon à faire un jour, c’est celui-là, ne serait-ce que pour les conférences dans les chapiteaux « Magic Mirrors ». ♥