Quoi de neuf, côté lancement ?
Cette semaine, c’était la semaine des médias !!
1/ Un article paru dans le Dauphiné Libéré du 14/09
Comme toujours très gentil à mon sujet, il a été écrit par Véronique Bouclon, correspondante du Dauphiné, que je commence à bien connaître maintenant et que j’apprécie beaucoup. ♥ Et comme toujours, j’ai l’air d’une quiche sur la photo… :p
2/ une interview à NRJ (diffusée la semaine prochaine)
Mercredi était aussi l’occasion de retrouver Guillaume Leprieur, dont j’écoute les flashs-infos tous les matins dans le 6-9 d’NRJ-Vallée du Rhône. Là encore un moment d’échange très agréable. L’interview passera probablement la semaine prochaine et je devrais pouvoir récupérer un enregistrement… Je le mettrai en ligne lorsque ce sera le cas. En attendant, vous avez déjà la photo !
3/ Une interview à France Bleu Drôme Ardèche (diffusée le 15/09 à 16h15)
J’ai eu le plaisir d’être à nouveau interviewée au téléphone par la charmante Valérie Rollmann, avec qui j’avais déjà échangé lors de la sortie de Kassandra.
Malheureusement, à ce jour je n’ai ni image ni enregistrement. Je me suis entendue hier, mais comme l’interview a eu quelques minutes d’avance, je n’ai pu saisir que la fin et pas l’enregistrer du tout… 🙁 Mais tout espoir n’est pas perdu !
Comme vous le voyez, je n’ai pas chômé cette semaine ! Vous non plus d’ailleurs, car, notamment grâce au coup de pouce du #JeudiAutoEdition, on est désormais à 64 % (à l’heure où j’écris ces lignes) de mon objectif Thunderclap ! On progresse, on progresse…
En attendant de découvrir les superbes marque-pages bijoux (c’est pour demain !), l’article du jour porte sur une ville qui m’a beaucoup plu : New York…
Ce qu’il faut voir / faire à New York
- aller écouter du jazz dans un petit club en sous-sol ;
- se balader dans Central Park ;
- monter au sommet de l’Empire State Building (et y expérimenter les « bisous électriques ») ;
- visiter Ellis Island ;
- se promener sur le pont de Brooklyn le soir du Nouvel An ;
- aller admirer les œuvres amérindiennes du Metropolitan Museum ;
- escalader le Taureau de Wall Street.
Ce que j’ai préféré
Il m’a été difficile d’écrire sur New York. Et à quelques jours d’un tristement célèbre quinzième anniversaire, encore plus. J’ai eu la chance de monter en haut du World Trade Center. Et d’être vraiment touchée par cette visite. J’y ai d’ailleurs pris mon plus beau cliché de New York : la statue de la Liberté sous le soleil couchant, avec un rayon de lumière qui sort de la couche nuageuse et l’éclaire…
Je me souviens exactement de ce que je faisais lorsque j’ai appris les attentats. Je me souviens de l’incrédulité horrifiée qui était la mienne en voyant les images d’un « film catastrophe » qui n’en était pas un… avant de comprendre ce qui se passait… Une tour, puis une autre…
Je ne pense pas exagéré de dire que quelque chose s’est brisé en moi, ce jour-là, en même temps qu’elles s’effondraient.
Heureusement, grâce au pouvoir des mots, de temps en temps, je les vois se relever, ces tours… Hier matin, pendant mon heure de cours avec mes Terminales L, c’est exactement ce qui s’est produit : mes élèves sont en train de rédiger des poèmes sur le thème du 11/09 et, comme toujours, je suis touchée par ce qu’ils arrivent à produire, par ce qu’ils arrivent à transmettre.
Moi aussi, j’ai souhaité les voir debout encore une fois et c’est sur cette scène que se clôt la nouvelle de New York. ♥
L’extrait du jour
Genny est ravie : elle a toujours eu une affection qu’elle ne s’explique pas pour cet ensemble architectural, pourtant d’un esthétisme discutable. Peut-être est-ce dû à la beauté du lieu lorsqu’il est illuminé ? À moins que ce ne soit la prouesse technique mise en œuvre ? En effet, pour Yamasaki, son concepteur, toute la difficulté avait été de construire un ensemble suffisamment haut pour qu’il y ait le nombre de bureaux requis mais sans perdre l’espace dévolu aux nécessaires ascenseurs. L’idée de l’architecte avait été d’utiliser des « sky lobbies », situés aux quarante-quatrième et soixante-dix-huitième niveaux : des niveaux où les usagers puissent passer d’un ascenseur express à grande capacité, à de plus petits desservant des étages locaux. De ce fait, plus de cinquante mille personnes y travaillent, et les lieux reçoivent la visite de deux cent mille visiteurs par jour. Le complexe est si grand qu’il possède même son propre code postal : le 10048.
Du sommet, Genny prend une photo magnifique de la statue de la Liberté : celle-ci est à contre-jour, éclairée par un rayon de soleil qui filtre à travers les nuages et joue avec les reflets de l’eau qui l’entoure. La vue splendide lui plaît, certes. Mais ce qui la touche le plus dans le bâtiment où elle se tient, c’est sa gémellité. Elle adore effet le duo que la tour forme avec sa réplique presque parfaite, posée juste à côté d’elle. On dirait deux sentinelles, fortes et rassurantes.
Elle quitte le World Trade Center et ses tours jumelles comme on quitte des amis. Le cœur étreint par le regret de se séparer, mais avec la certitude que les moments passés ensemble resteront gravés en elle. Toujours.
« Villes de légende », p. 181-182
Tout d abord Félicitations 🙂 , ensuite on croise toujours les doigts…et je viens de me rendre compte que je finis chaque lecture avec une chanson en tête …aujourd’hui cela aurait pu être Liza Minnelli et son fabuleux New York New York mais c’est Téléphone… 😀 … donc comme d hab. sourire …!!! Merci M`Dame et belle journée à toi
Ah oui, tiens, je n’avais pas pensé à Téléphone et pourtant j’adore cette chanson !! Tant mieux si je te donne le sourire, j’adore ça ! 🙂 Et campagne réussie !!
Que de bonnes nouvelles avec ces interviews ! Je ne suis jamais allée à New York mais c’est dans mes projets j’ai fait la campagne Thunderclap, en espérant que ça marche
Merci Hope !! Ton aide a été précieuse : grâce à vous tous, j’ai réussi à atteindre les 100% de mes objectifs Thunderclap, merci ! 🙂 Bien contente de te lire ici ! 🙂
Tu es une pro du média ! J’adore !
Tout comme toi, je me souviens exactement le jour de l’attentat. J’ai également en allumant la télévision et déjeunant devant (en rentrant de la fac) que cela fut un mauvais film catastrophe. Au bout de 30 minutes, j’ai compris l’horreur de la situation. J’en ai pleurer d’effroi.