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Hier soir, j’ai enfin atteint — et même dépassé — la barre des 100 000 mots. Comme je ne sais pas si vous réalisez ce que cela signifie, petit article explicatif de la (folle) joie qui est la mienne.

Vignette présentant l'article sur les réseaux

“Ça correspond à quoi, 100 000 mots, dis ?”

Les “Nanoteurs”, ceux qui ont déjà relevé le challenge du NaNoWriMo, à savoir le défi d’écrire un roman en 1 mois connaissent très bien la limite à atteindre : 50 000 mots, c’est, en moyenne, le “poids” d’un roman.

Du coup, lorsqu’hier soir, j’ai franchi la barre des 100 000 mots, j’ai eu comme un vertige à l’idée que j’avais grosso modo écrit l’équivalent de deux romans. 🤩🤩 Quand on sait que certains auteurs n’ont jamais réussi à en finir un, c’est plutôt cool de se dire qu’on a produit autant.

 

“En combien de temps, tu as écrit tout ça ?”

Alors, on est très, très loin du défi du Nano, vu que ces 100 000 mots, j’ai mis presque 3 ans à les écrire (mais j’ai publié deux livres entre-temps, hein, ça compte ! 😅).

Par contre, ces derniers mois ont été plutôt réguliers, avec une progression enregistrée quotidiennement sur mon blog. J’en ai même fait un timelapse, mais avant que vous ne visionniez celui-ci, je voudrais attirer votre attention sur la chanson que vous allez entendre en fond sonore et que j’écoute EN BOUCLE en ce moment.

Pour des raisons que je ne peux pas complètement dévoiler aujourd’hui, j’ai fait des tonnes de recherches sur un sujet particulier auquel je ne connaissais rien. Au cours de ces recherches, je suis tombée sur cette chanson, Believer par Audio Adrenaline et je l’ai adorée. Elle m’a accompagnée sur de très nombreuses scènes du livre, alors j’ai trouvé judicieux de la mettre en bande-son de ce timelapse. J’espère que vous mettrez le son et que vous l’aimerez ! 🥰

[Moi, j’ai acheté ce titre sur Amazon (lien Partenaire) et je l’ai aussi mis dans ma playlist “Inspiration” sur Spotify]

“Alors, du coup, tu as bientôt fini ?”

Euuuh, non. 😅

Déjà, parce que très peu de mes romans font 50 000 mots.

  • Éclosia ou l’Écosse des légendes : c’est mon livre de fiction le plus court, avec 40 000 mots au compteur.
  • Kassandra et la Grèce des légendes : 109 000 mots.
  • Une autre vie à Citara, tome 1 : c’est, à l’heure actuelle, le plus long de mes livres, avec 130 000 mots.
  • Une autre vie à Citara, tome 2 : un tout petit peu moins que le tome 1, avec 120 000 mots.

Et puis surtout, parce que je ne l’ai pas encore terminé, ce manuscrit. Même si sur les 7 chapitres mentionnés dans ce visuel, deux sont déjà bien avancés, j’ai encore pas mal de choses à amener à mon intrigue. 😎

“Et pourquoi tu ne comptes pas en signes ?”

Je sais que certains auteurs ne jurent que par les secs (signes espaces comprises). 🙄

Je sais que “dans le milieu éditorial”, on ne jure que par ça.

Même Lionel Davoust, que j’adore, a récemment publié un mini-thread pour dire aux auteurs d’utiliser les sacro-saints secs s’ils souhaitaient être reconnus comme des pros. (glurps alors 😅)

Mais à la vérité, pour moi, c’est une consigne d’un autre temps, directement héritée du 19ème siècle et des conventions d’imprimerie.

À la vérité, aujourd’hui, je trouve cela inutile dans la plupart des cas :

  • parce que ça ne parle pas à la majorité des gens (or, moi, je ne m’adresse pas qu’au monde éditorial, mais avant tout aux lecteurs) ;
  • parce qu’avec les outils dont nous disposons aujourd’hui, on peut avoir toutes les statistiques que l’on souhaite en une fraction de seconde, y compris les fameux secs ;
  • parce qu’en tant qu’autrice indé, je n’ai pas besoin de “parler jargon” avec une maison d’édition ;
  • parce que, tout simplement, les nombres issus des secs sont trop élevés pour mon petit cerveau et, du coup, ne me parlent pas autant que les mots.

 

Je suis encore loin de la ligne d’arrivée !

Oui, car vu tout ce qu’il me reste à terminer, je vais être très, très juste pour pouvoir publier Citara 3 pour les Aventuriales. 😅😅😅

C’est possible, hein, mais je vais avoir besoin de votre soutien, les amis. Alors, à vos commentaires !! ?�