Bon, après avoir passé presque toute ma matinée à switcher entre la rédaction d’un article sur Petit-Pierre et un autre sur les Salons, tout en surfant sur Facebook, je me suis finalement décidée à en écrire un troisième, sur les avantages et les inconvénients du réseau social.
Page publique ou profil privé ?
Normalement, lorsque vous êtes une personnalité publique, vous devriez avoir une page, ben… publique. Pourquoi ? Petit tour succinct des avantages et des inconvénients des deux.
- profil privé : vous y avez des amis, vous publiez des infos dans un fil d’actualité bien plus ergonomique (à mon avis) que la Page, vos publications sont présentées sur les murs de leurs propres profils (enfin, sur ceux avec lesquels vous interagissez le plus), c’est dynamique, sympathique, ça va très très vite. Vous pouvez contrôler la visibilité de vos posts (public, amis, post ciblé…) et vous pouvez partager sur les journaux d’une personne ayant autorisé cette fonction.
Inconvénients : vous êtes limités en nombre d’amis (5 000), vous ne pouvez pas faire de publicité.
- page publique : vous comptabilisez les « j’aime » sans aucune limite, vous pouvez promouvoir du contenu, soit en créant des publicités Facebook, soit en sponsorisant un post particulier, vous pouvez créer ou ajouter des applications (par exemple pour votre blog, afin de faciliter les commentaires), vous pouvez avoir une boutique. Vous êtes référencé sur Google et vous disposez de stats détaillées sur qui fait quoi sur vos posts (stats que je ne consulte jamais, au passage).
Inconvénient : je n’aime pas du tout l’ergonomie de la page, que je trouve moins fluide et claire que le fil d’actualité, et avec le nouvel algorithme de Facebook, les Pages ont perdu énormément en visibilité. Ah, et vous DEVEZ avoir un profil privé pour pouvoir créer une page (je trouve ça pas super logique mais bon…)
Bon, vous l’avez compris, je préfère 10 000 fois utiliser mon profil « privé » qui d’ailleurs ne l’est quasiment pas : les 3/4 de mes posts sont publics, je ne mets jamais la photo de mes enfants dessus et depuis un bon moment il est à mon nom d’autrice et pas mon nom usuel… Mais j’ai tout de même des pages Pro (une pour chacune de mes publications) que je peine à mettre à jour et à animer. Elles sont essentiellement là pour les jours où j’ai besoin de faire une publicité, pour tout vous dire. 😉
Pourquoi Facebook EST utile à un auteur
Outre le plaisir absolument improductif qu’on éprouve tous à lire les statuts de nos amis, visionner des vidéos originales et s’extasier devant de trop mignonnes photos de chats (quoique, ça, à bien y réfléchir, ce n’est pas improductif, ça fait du bien au moral, c’est énorme… ♥), je trouve personnellement un grand intérêt à cette plateforme, sur laquelle je me rends avec plaisir.
1) C’est une plateforme qui crée / entretient le lien.
Systématiquement, lorsque je suis de retour de Salon, j’ai 3, 4 demandes d’amis provenant de nouveaux lecteurs. Ces lecteurs restent informés de mon actualité plus que lorsqu’ils sont abonnés à mon blog. Des liens se nouent entre nous, liens qui restent bien après le moment de la lecture. Je peux dire que de nombreux échanges virtuels se sont ainsi transformés, au fil du temps et des publications sur Facebook, en réelles et solides amitiés. J’ai PLEIN d’exemples, mais le plus flagrant est peut-être celui d’Aurélia qui, depuis une rencontre « éclair » au Salon du livre de Mazamet 2016, est devenue l’une de mes plus fidèles fans. Lors du dernier Salon que j’ai fait « dans sa région », elle a fait 2h de route pour venir m’apporter de petites créatures en pâte à rêve représentant mes histoires. Et bien sûr, elle a reçu « Petit-Pierre » en avant-première en tant que bêta-lectrice.
Je suis convaincue que sans ce lien « Facebookien », cette proximité, nous n’aurions pas pu créer un tel rapport de confiance, qui maintenant est devenu une amitié. Le blog, tout chaleureux que je l’ai souhaité et que vous le rendez par votre présence, ne permet pas ce lien (même si Acharat en est un contre-exemple parfait, car lui me suit depuis mon tout premier blog… ♥). Rien que parce que je n’y publie pas aussi souvent que sur Facebook.
2) L’information et l’accès y sont faciles et rapides
Vous avez besoin d’une info, d’un contact ? Vous avez une question à un problème urgent ? En un clic vous pouvez envoyer un message à un organisateur de Salon (c’est comme cela que j’ai assuré ma place à une manifestation pour laquelle mes mails n’obtenaient aucune réponse), avoir les coordonnées d’un illustrateur (Valérie m’a ainsi refilé son tuyau pour obtenir un super logo), faire un mini sondage, demander l’avis des personnes connectées…
C’est vraiment très utile.
En outre, la propagation de vos informations / requêtes peut être conséquente grâce aux partages. J’ai de bien meilleurs résultats concernant les vues sur le blog une fois que j’ai annoncé la publication de l’article sur Facebook… 😉
3) Vous pouvez y rejoindre ou créer des groupes
En quoi cela est-il un avantage ? Un groupe c’est un cercle de personnes partageant les mêmes intérêts. Côté autoédition, je ne compte plus les infos et conseils judicieux que j’y ai reçus. Je pense notamment à un groupe où j’ai trouvé une formidable entraide et plein de tuyaux depuis que je l’ai rejoint il y a plusieurs années de cela… et c’est à peine croyable mais à l’instant même où je tapais ces lignes, je recevais une proposition de dingue via Messenger, justement de l’une de ces connaissances nouées et entretenues sur Facebook.
La vie a de ces coïncidences, parfois… ♥
Depuis peu, j’ai créé mon propre groupe d’auteurs Drômois et Ardéchois et je suis ravie de cette initiative, qui m’a donné plein d’idées.
C’est plus facile d’échanger ainsi, on voit rapidement qui a eu les infos, on est plus efficaces.
Pour l’Indé Panda, où je m’investis de plus en plus, c’est l’interface où les 3/4 des décisions sont prises (le reste l’étant par mail et, très rarement, par téléphone).
Ce qu’il faut éviter de faire sur Facebook
- aborder les sujets qui fâchent : à mon avis, ce n’est absolument pas le lieu pour étaler / défendre ses opinions, en particulier sur des sujets sensibles, qui méritent réflexion et démarche posée.
L’interface est trop réactive pour cela. Trop volatile aussi, toujours prompte à s’enflammer. On est en train de surfer sur notre fil d’actualité, on enchaîne les « likes » et autres « wouah » et tout à coup on tombe sur une question qui fait débat. Style « guerre des sexes » ou « immigration ». Un truc sur laquelle personne ne s’est mis d’accord depuis, genre, des siècles. Alors, comme c’est ce que l’on fait sur Facebook, la majorité des personnes (pas moi, j’avoue fuir ce genre de post comme la peste) envoient une réaction forcément réductrice puisqu’elle tient d’un choix entre 5 smileys, assortie parfois d’un commentaire de longueur variable (du post à moins de 140 caractères à celui qui se déroule sans fin, sans ponctuation, où l’on lâche tout ce que l’on pense). Et cela suscite, bien évidemment, la réaction d’autres commentateurs, certains de parfaits inconnus qui ne savent rien de nous, de notre façon de penser, de notre passé, de nos raisons pour avoir réagi ainsi.
Bref, ce n’est pas la plateforme pour débattre, il n’y a qu’à voir les « perles » trouvées sur les réseaux sociaux, de posts ayant dégénéré en disputes… (certains sont hilarants).
Un blog, c’est déjà beaucoup plus fait pour, je trouve. Il y a la place d’écrire un vrai article de fond, on peut supprimer les messages éventuellement injurieux, car nous possédons l’interface, ce qui n’est pas le cas de Facebook.
- vouloir absolument y défendre la liberté d’expression : celle-ci doit avoir des limites. Je ne parle pas de censure, je parle de respect. Je ne permets à personne, sur les interfaces que je contrôle, de manquer de respect dans ses propos. Quelque soit la validité des informations apportées en commentaire, dès que celui-ci est outrancier, injurieux, insultant, extrémiste, je considère qu’il n’a rien à faire dans un espace où je défends les valeurs d’échange, de gentillesse, d’apports constructifs, de positivisme. Je l’efface sans l’ombre d’un remords. Il y a trop de personnes dont l’unique but est de faire du mal et de détruire, c’est tellement plus facile que de construire quelque chose… Je suis convaincue que si plus de gens refusaient d’écouter ceux qui ne sont là que pour critiquer et descendre d’autres personnes, le monde tournerait mieux… ♥ Mais je viens de la planète des Bisounours, ceci explique peut-être cela…
- accepter n’importe qui en ami : vous l’avez vu, on ne peut avoir « que » 5 000 amis. Même si pour certains on est loin de ce chiffre, je pense qu’il ne faut pas accepter n’importe qui. En ce qui me concerne, je ne prends plus en « ami » quelqu’un que je ne connais pas. Même le critère de « vous avez 65 amis en commun » ne me suffit pas. Pourquoi ? Parce qu’il m’est arrivé trop souvent d’accepter un « ami d’un ami »… et de le voir débarquer dans mon fil d’actualité ou par Messenger avec une pub pour ses livres et je déteste ça. Pas un bonjour, pas un like, hop, direct de la promo. Autant vous dire que ceux-là, je les vire direct de la liste de mes contacts (après leur avoir fortement conseillé de lire l’article « auteurs, ne mendiez pas des lecteurs ») Aussi, sachez-le, si vous voulez que je vous accepte en ami et qu’on ne s’est jamais rencontrés dans la vraie vie, il vous faudra m’envoyer un message privé avant. 😉
- y passer trop de temps : plus facile à dire qu’à faire. TOUT est fait pour nous inciter à rester sur l’interface. Une notification, un message, une sonnerie, un ♥ reçu sur une publi, on passe de fil en fil, on lit une vidéo intéressante, on laisse un commentaire sur une photo ou un statut rigolos… Et 1h, 2h, 3 heures sont passées à toute allure. On a l’impression d’avoir été hyper efficaces parce qu’on a répondu à 3 messages à la fois, qu’on a surfé d’une page à une autre tout en likant des posts et en en publiant un soi-même. C’est faux. On s’est divertis les 3/4 du temps, on a été productif seulement 1/4 de ce dernier.
Tant qu’on en a conscience et qu’on prend des mesures pour limiter le temps passé sur Facebook, ce n’est pas grave, mais cela m’est souvent arrivé de me retrouver en retard dans mon travail à cause du temps passé sur cette plateforme. Encore hier soir, alors que j’étais épuisée et que je ne souhaitais qu’une chose : me mettre au lit après une journée hyper remplie, j’étais en cours en train d’échanger sur Messenger avec une copine. C’est en tapant « je suis débordée » que j’ai réalisé que ce n’était pas le cas en cet instant précis : je n’avais qu’à éteindre le téléphone et je ne serais plus sollicitée de la soirée… 😉
Bon, je suis sûre que j’oublie d’aborder plein de points, mais cet article est déjà suffisamment long et il est tard, alors je vous le poste tel quel en comptant sur votre indulgence. Pendant que je l’écrivais, j’ai eu une flopée d’évènements qui m’ont retardée, merci Murphy, de traîner dans le coin… 😉 Mais j’ai eu de super nouvelles aussi, dont je vous reparlerai plus tard.
Avez-vous le même ressenti que moi ? Êtes-vous aussi (trop) souvent sur Facebook ? (Crazy, vas-y, fais ta pub pour Google+ ! 😀 ) Y voyez-vous les mêmes avantages que moi ?
En tout cas, merci de me lire et de vous abonner à mes newsletters : cette semaine a vu de nombreux nouveaux arrivants, c’est chouette, je vais peut-être réussir à atteindre mes objectifs 2018 si ça continue comme ça ! 😉
Bonsoir Nathalie,
Oh mais tu viens de parler de moi (sérieux ? ) ! Je suis surprise et dans le bon sens et je te remercie du fond du cœur.
Alors je ne suis qu’une lectrice mais j’aime bien suivre certains auteurs sur leur page ou leur profil. Par contre, certains ne sont vraiment pas très intéressants ou sympathique puisqu’ils sollicitent le public tout en omettant de continuer d’interagir avec leurs fans. Je peux admettre que ça prend du temps etc… mais s’il y a sollicitation, en théorie, il y a un réel désir d’échanges. Aujourd’hui, je fais beaucoup moins attention à cela mais avant, ça me donnait l’impression de ne pas compter même si je ne suis qu’une lectrice qui se noie dans la masse ! J’ai d’ailleurs en ami, un auteur qui m’a lui-même fait une demande. Je l’ai accepté. J’ai une fois ou deux eu le cran de mettre un commentaire sur un statut, je n’ai eu ni « j’aime » ni réponse. Je ne l’ai pas pris pour moi mais j’ai pu me rendre compte que cette personne sélectionne soigneusement les amis à qui répondre ou mettre un j’aime. De fait, il n’y a aucun intérêt à l’avoir dans mes contacts sachant que tout ce qui concerne ses publications en tant qu’auteur est aussi disponible sur sa page. Bref… Je suis pour les réseaux sociaux, mais beaucoup moins pour le fait d’ajouter un maximum de gens si c’est pour les ignorer surtout s’il y a des réponses pertinentes à une interrogation qu’on a pris soin de lancer.
Mon texte est un peu long donc je vais m’arrêter là, tout en précisant qu’il m’arrive d’avoir des demandes d’amis d’auteurs que je n’ai pas cherché à avoir, qui ne prennent même pas la peine de préciser qui ils sont et pourquoi ils veulent vous ajouter. Je n’accepte plus ces demandes aujourd’hui. Je trouve que c’est insupportable sachant qu’il n’y a aucune ouverture de dialogue, juste l’espoir d’une vente en plus.
Je te souhaite une bonne soirée, je vais terminer ma lecture en cours et me lancer dans Petit-Pierre probablement demain ou lundi.
À bientôt. Bisous.
Merci pour ce comm super long, Aurélia. Bien sûr que je parlais de toi, qui d’autre ? ♥ Bisous et bonne lecture !!!!
Bon, puisqu’on me réclame…
Malheureusement, G+ n’a pas la même visibilité que FB. Néanmoins, j’ai l’impression que les échanges y sont plus constructifs (ou, au moins, mieux argumentés).
Et il n’y a pas de pub !
Moi j’avoue ne jamais me rendre sur G+, je trouve l’interface très peu ergonomique, je passe mon temps à chercher les posts… Et j’aime les pubs, enfin, certaines… J’ai trouvé 2 super tenues pour les Salons via les pubs sponsorisées FB d’ailleurs. 😉
Aaah Facebook ! Je suis un peu comme toi, j’ai un profil perso que j’essaie de garder perso mais je n’y poste jamais des trucs très privés et une page « auteur », mais c’est vrai qu’elle est plus « institutionnelle » je trouve…
Sinon, je ne suis pas trop perturbée par FB car j’ai désactivé toutes les notifs sonores et visuelles sur mon tel (je n’ai plus les notifs que quand je me connecte à l’appli), idem pour Instagram et Pinterest. D’une part parce que je déteste être dérangée en pleine nuit par un bip 🙂 et d’autre part pour les raisons que tu soulignes, ne pas être happée par l’immédiateté. Je réponds aux notifs quand je me connecte, point.
Et j’ai exactement la même attitude que toi quant aux posts « polémiques » et autres prises de position. En effet, FB n’est absolument pas le lieu pour ça, je trouve même complètement idiot d’étaler ses opinions politiques ou autres là dessus…
Merci Lynda ! Moi aussi je n’ai plus de notifications en-dehors de mes moments de connexion à FB, mais dès que j’arrive dessus, c’est la folie. 😉
Tout pareil (commentaire très constructif…).
Mon activité sur la plateforme m’a été très utile en tant qu’auteur et m’a offert une visibilité qui n’aurait pas été possible sans les réseaux sociaux. Je pense même que ça a énormément joué dans le développement de mon entreprise et l’image positive qu’elle en a aujourd’hui auprès du public, alors qu’elle est à peine lancée et que je devrais affronter le doute et les haussements de sourcils.
Le pendant, comme tu le dis si bien, réside dans le temps que j’y passe, pas toujours à profit. Je me reprends d’ailleurs souvent, en pleine rédaction d’un commentaire sur une publication, à me demander « est-ce que répondre là est utile ? Est-ce que cela a de la valeur ajoutée ? » Et souvent, j’arrête d’écrire ce commentaire, tout simplement, et je gagne 5 minutes tout de suite, puis tout le temps stérile qui en aurait découlé.
à côté de cela, certains échanges sont passionnants et enrichissants.
Merci pour ce commentaire, Dorian ! J’ai suivi avec attention et intérêt la création de Noir d’Absinthe sur Facebook et je pense qu’effectivement tu as su utiliser la plateforme à ton avantage. Bravo pour résister à la tentation, moi ma technique c’est de ne pas ouvrir la fenêtre Facebook à moins d’avoir quelque chose à y poster… et de fermer dès que j’ai fini de lire mes notifications. 😉
Bon comme tout bon fan de 1ère catégorie, je vais te suivre plus sérieusement sur fesse de bouc. Là dessus, j’avoue que j’étais plus que mauvais.
Tu es un fan parfait, t’inquiète ! 🙂
J’ai un avis très simple à propos de Facebook : « C’est le MAL ! »
Je pourrais développer, mais il est tard et d’autres l’ont fait mieux que moi. Aussi, chers internautes 2.0, je vous laisse avec deux lectures utiles. La première est courte, la seconde plus longue :
https://socialcooling.fr/
https://framablog.org/2017/01/23/si-on-laissait-tomber-facebook/
Voilà, voilà.
Salut.
Brrrr, c’est vrai que ça fait peur… Mais j’avoue que j’aurais du mal à arrêter aujourd’hui. Encore ce soir, j’ai dialogué hyper efficacement grâce à Messenger, ça aurait été dix fois plus long et laborieux par mail… :/
Mais merci pour les liens ! 🙂
Pour ma part, ce qui a fini par me désengager totalement de toute communication sur facebook, jusqu’à nouvel ordre de leur part, quant à leurs algorithmes hyper restrictifs… à mon goût du moins. Et leurs contrôles d’identité inopinés (là encore c’est mon avis sur la question, que j’assume mais n’oblige personne à le voir à l’identique)…
En dehors de cela, je suis d’accord sur le contenu de cet article. Tant qu’on nous laisse le faire 😛
J’ai survolé votre article.
Si cela vous convient de préférer le profil à la page, tant mieux pour vous.
Mais pour une activité pro, la PAGE a des capacités 100 000 fois supérieur qu’un profil sensé être tenu pour rester en contact avec sa famille, ses amis !
EN 2 MOTS,
SI VOUS ETES UN PRO, FAITES UNE PAGE !!!
J’en ai 2… 😉 Une pour mes conférences, une pour mes livres.
Chacun fait comme il préfère, il n’y a pas besoin de s’emporter. 😉