Deux autres sources d’inspiration, qui rejoignent d’ailleurs JK Rowling dans la structure des tomes de leurs séries, sont l’auteur de la série policière « Eve Dallas », JD Robb, et l’auteur de fantasy Terry Goodkind.
Ce que j’aime chez ces trois auteurs c’est leur façon de clore une histoire DANS l’histoire principale, de sorte que même si l’on sait que les héros n’ont pas fini leur quête ultime, au moins chaque tome a une fin satisfaisante. A contrario, je me rappelle bien de la frustration que j’avais ressentie en lisant le tome 3 de la « »trilogie » » d’Eragon, de Christopher Paolini : quelques pages avant la fin j’ai compris… qu’il y aurait un 4ème tome et que toutes mes questions resteraient sans réponse en attendant la suite… C’était plutôt décourageant qu’autre chose… (d’autant qu’il a mis plusieurs années à l’écrire, sa suite… <_< )
Alors, que mes lecteurs se rassurent (euh, j’ai des lecteurs moi ?), enfin bref, j’ai prévu de clôre une aventure des mes héros à la fin de chaque tome de Citara, même si l’histoire principale, elle, devra attendre le 4ème tome pour arriver à son terme.
En outre, mais c’est déjà plus difficile à réaliser, ce que j’aime dans les fins de Terry Goodkind c’est, plus encore que du suspense, d’avoir été amenée à penser que le dénouement heureux est impossible, tant la situation paraît inextricable. Et lorsque le héros trouve LA solution, le lecteur est tout heureux d’avoir été berné, car il a ressenti plus de frissons ainsi.
Alors, même si je vous parais malmener vos héros préférés, n’ayez pas peur, de toute façon mon côté Bisounours reprendra le dessus ! 😉
PS : je précise que les Bisounours ne font PAS partie de mes influences littéraires…
(à suivre ici)
Article importé de mon ancien blog
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